vendredi 10 avril 2009

Qui de l’homme et de l’animal est le plus bête ?

Un jour je vous parlerais de la corrida et de ces clowns qui tuent pour le plaisir sous couvert d'une tradition aussi barbare que stupide !

Les hommes sont-ils propriétaires du monde et ont-ils tout pouvoir sur des animaux, comme le pensait Descartes ?
ou En ont-ils simplement la garde, selon la vision d’Heidegger ?

Certains comportements sont inexplicables, pourquoi aller jeter ses ordures ménagères dans la nature, aller déposer ses vieux téléviseurs et canapés dans un bois ou le long d'une route, balancer son huile de vidange, ses pneus ou batteries dans un cours d'eau alors qu'il existe des solutions alternatives simples, propres et gratuites !
personnellement, je n'arrive pas à comprendre mais je trouve surtout injuste de comparer ces agissements avec celui des animaux qui eux sont contrairement à l'homme, respectueux de leur environnement.
En polluant, vous détruisez ou dégradez la flore mais aussi la faune, la biodiversité, l'avenir ...

A lire sur le même sujet :

- INTERVIEW D'ALAIN MABANCKOU (evene.fr)
"l’écrivain-poète Alain Mabanckou, auteur du dernier prix Renaudot ‘Mémoires de porc-épic’, réinvente le monde pour mieux le repenser. Une fable drôlement corrosive où l’auteur mêle à un français caustique le rythme effréné de l’oralité africaine. Simplement génial "

- Qui est la bête, qui est l'animal ? (aniwa.com)

- L'homme et l'animal (philo pour tous)
"La supposée dignité supérieure de l’être humain ne lui conférerait-elle pas autant voire plus de devoirs que de droits vis-à-vis des bêtes ?"

- L'homme, cette drôle de bête (Nouvel obs)
"«Sans offenser le genre humain», on pourrait lui dire ses quatre vérités. Lui dire par exemple qu'il n'est pas seul au monde, que la cause animale est aussi la sienne, et qu'il se détruit de l'intérieur en martyrisant les bêtes, tandis que la biodiversité se réduit comme une peau de chagrin."

- L'homme est un animal politique (le monde)
"Devant le désintérêt des uns pour les débats municipaux et nationaux, devant le manque de civisme des autres, il est permis de douter que la vie politique soit une préoccupation naturelle."

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